Dans mon lit - Bigflo & Oli
С переводом

Dans mon lit - Bigflo & Oli

Альбом
La vraie vie
Год
2017
Язык
`francese`
Длительность
425410

Di seguito il testo della canzone Dans mon lit , artista - Bigflo & Oli con traduzione

Testo " Dans mon lit "

Testo originale con traduzione

Dans mon lit

Bigflo & Oli

Оригинальный текст

Yeah yeah, ok

Seul dans mon lit j’regarde la fissure sur mon plafond

Elle s'étire pour devenir un point d’interrogation

J’fixe la peinture défraîchie

Impossible de dormir j’commence à réfléchir

J’pense à mes amis qui désertent notre ville

Monter à Paris parce que c’est là-bas l’avenir

Par téléphone on s'écrit mais c’est plus la même histoire

J’regrette nos samedis soirs

C’est la vraie vie, la pure réalité

Les copines, les études estompent les amitiés

J’marche seul sur un sentier abrupt

J’suis une armure vide, c’est donc ça la vie d’adulte

C’est dur c’que le temps passe vite

Y’a ceux qui fument pour le ralentir

J’pleure mais j’suis pas si triste

J’suis un boxeur mais j’suis pacifiste

On veut un futur bien à huiler, une voiture stylée

Prêt à tout pour l’obtenir même à dealer

On est un bon ton plein de rêves qui poussent mais très peu d’entre nous

traverserons le filet

J’repense à mes colères qu’il faudrait que je gère

Le feu et l'éclair, je veux un peu d’air

J’veux taire les problèmes aux fonds d’mes poches

Pourtant mes colères font du mal à mes proches

J’respire, j’repense à cette fille qui m’a dit: «Hé l’artiste t’as la belle vie

espèce de pauv' type»

En la regardant, j’ai vu qu’elle était ivre

En fouillant dans ses yeux, j’ai su qu’elle était triste

Et j’y repense toutes les nuits

Plusieurs musiques mais on danse qu’une seule vie

Et c’est souvent dans le plus grand des silences, que tout est dit

Au max de moi même, lève les bras, bouge la tête et je t’emmène

On ira pagayer dans la tempête

Ceux qui parlent, ceux qui se plaignent, on les emmerde

Quand j’kick c’est comme si j’racontais des trucs sales devant le psy

Mon p’tit, sache que j’anticipe ce qui s’cache, sois attentif

Prend le temps de vivre une vie sage

T’as compris «Ohlala!

Il parle encore de rap celui-là!»

Si c’est des buildings j’arriverais comme Godzilla

J’fous le fire et tu seras pas de taille, mec

Quand Biggie, Biggie, Biggie fait les Mics Checks

J’pense à ceux qui dorment par terre

Le matin qui s’lève sans confiture sur les tartines

Et les filles, qui entre deux verres

Perdent leur innocence dans le coin d’un parking

L’amour, t’es où?

Tu nous manques ici bas

Fais-le, pour nous, pour les gens qui se battent

On laissera pas la haine dominer

Ces menteurs veulent nous embobiner

Ils veulent nous faire avaler des couleuvres

Leur oeuvre, c’est d'&lifier nos douleurs

Ils veulent qu’on s’oppose

Névrose, qu’on explose

Moi je viens de la ville rose

Obligé d’aimer les couleurs

On est jamais contents de c’qu’on a

Crois moi, à peine arrivés à un endroit qu’on pense à déménager

Et les sages le savent

Quand les poissons rêvent de voler, les oiseaux rêvent de nager

Toujours dans mon lit, en tee-shirt et caleçon

J’regarde toujours la fissure sur mon plafond

Dans le noir j’me détends, j’essaye encore

Lundi soir, 5h30, Faudrait que j’m’endorme

Faudrait que j’m’endorme

Faudrait que j’m’endorme

Y’a l’aiguille qui tourne

Faudrait que j’m’endorme

J’ai tout essayé, j’ai tout essayé, j’ai tout essayé

Faudrait que j’m’endorme

Oli

Faudrait que j’m’endorme

Ils doivent tous dormir, insomnie j’ai l’habitude

Sud Ouest, ma latitude

Et c’est dans l'écriture, que mes phrases prennent de l'&litude

Ma mère est fière mais rêve que j’fasse de grandes études

Mais j’serai jamais médecin on est d’accord

Il me reste quoi de l'école?

Des blagues et la table de Pythagore

J’ai beau être sur les ondes, plaquer des accords

Je sauverai jamais le monde avec des métaphores

C’est dingue, faut que je dorme mais j’me questionne

Peur d'être dans la norme, j’voulais être un grand homme

Le rap sens pèse des tonnes, des fois j’vois leurs fantômes

J’fixe mon téléphone, j’attends l’appel de personne

Tu sais, moi j’attends mon heure

Et j’ai mis mon cœur sur répondeur

Tu trouveras derrière les lignes de mes phrases

Sinon laisse un message

J’regarde ma vieille peluche pleine de poussière

Sur la table, au milieu d’mes affaires

Et j’la compare à ma peur car j’m’y suis habitué

Mais ça fait longtemps que j’aurais dû m’en défaire

Si j’m’en sépare, j’ferai bien l’deuil

Elle est là, entouré de plein d’feuilles

J’la regarde et je me sens un brin seul

L’impression qu’elle me fait un clin d'œil

Je revois le visage de ce type que j’ai croisé dans la gare

Il avait mon âge, ça fait mal quand j’y pense

Il a dit «J'm'endors dehors tous les soirs»

Sous la couette, j’ai honte d’avoir répondu «Bonne chance»

Cette ville, un film d’action

Effractions, agressions, on entend ça d’puis minots

Ma voisine a la même vie qu’Al Pacino

Elle prend des pilules et perd son fric au casino

Tous ces choix qui nous séparent

Il faut se battre quand on s'égare

Ce putain de poids devant le miroir

J’me revois seul à l'écart

J’gratte quand il est tard

J’pense qu’au rap depuis le départ

Moi j’ai la poisse, si j’touche du bois c’est pour ramasser les échardes

Une sirène d’ambulance s’est glissée sous ma fenêtre

La main sur le cœur, j’ai trop peur qu’il s’arrête

Enfant du divorce, à force on se dit

Que l’amour c’est comme le loto

Ça n’arrive qu’aux autres

5h du mat et les secondes resserrent l'étaux

Encore une fois j’m'étais promis d’me coucher tôt

Et j’ai des flashs de mon zénith

Ils n’y voient que du feu, j’aperçois le phénix

Au fait poto là-haut c’est comment?

Paraît que dans ce biz, la cocaïne prend les commandes

Paraît qu’tu flippes, paraît qu’t’es triste, affolant

Que tu regrette ce que t’as dit, pas étonnant

Une villa sur la mer, pour ma mère

C’est pas la mer à boire, j’veux plus voir ses cernes dans la brume

J'écris tard le soir, dans mon laboratoire

J’veux finir ma vie au soleil, j’demande pas la lune

20 ans, j’ai pas vu le temps passer

Y’a ces regrets que j’peux pas remplacer

À chaque fois les souvenirs s’entassent

Le coussin dans les bras, j’m’imagine l’enlacer

Oli, solide, l’autiste, fier

L’ovni, du cro-mi, solitaire

Il est tard je sais, les gens vont bientôt au taf

Mais j’reste là dans les bras d’Morphée

Alors j’respire, j’temporise

J’m’imagine dans les cieux

J’fais comme un perfectionniste face à la Tour de Pise

J’ferme les yeux

Faudrait que j’m’endorme

Faudrait que j’m’endorme

Faudrait que j’m’endorme

J’attends l’marchand d’sommeil

Bigflo &Oli tu connais, non?

Deuxième album on l’a fait, fréro

Merci à ceux qui soutiennent

A notre ville et ailleurs

Big Up Big Up

A notre ville et ailleurs

La Vraie Vie Partie I

Quoi?

La suite c’est… Chut

Derniers mots du deuxième album

Toujours avec mon frère!

Перевод песни

Sì sì, va bene

Da solo nel mio letto guardo la crepa sul mio soffitto

Si allunga fino a diventare un punto interrogativo

Fisso la vernice sbiadita

Non riesco a dormire comincio a pensare

Penso ai miei amici che abbandonano la nostra città

Vai a Parigi perché quello è il futuro

Per telefono ci scriviamo ma non è più la stessa storia

Mi pento del nostro sabato sera

Questa è la vita reale, la pura realtà

Fidanzate, gli studi offuscano le amicizie

Cammino da solo su un sentiero ripido

Sono un'armatura vuota, quindi questa è la vita da adulto

È difficile come vola il tempo

C'è chi fuma per rallentare

Piango ma non sono così triste

Sono un pugile ma sono un pacifista

Vogliamo un futuro bene al petrolio, un'auto elegante

Pronto a tutto pur di farlo arrivare anche al rivenditore

Siamo un buon tono pieno di sogni che crescono ma pochissimi di noi

attraverserà la rete

Ripenso alla mia rabbia che avrei dovuto gestire

Fuoco e fulmini, voglio un po' d'aria

Voglio tacere i problemi in fondo alle mie tasche

Eppure la mia rabbia ferisce i miei cari

Respiro, ripenso a questa ragazza che mi ha detto: "Ehi artista, buona vita

povero ragazzo"

Guardandola ho visto che era ubriaca

Guardandola negli occhi, ho capito che era triste

E ci penso ogni notte

Tante canzoni ma balliamo solo una vita

Ed è spesso nel più grande dei silenzi che si dice tutto

Al massimo di me stesso, alza le braccia, muovi la testa e ti prendo

Andremo a remare nella tempesta

Chi parla, chi si lamenta, noi lo scopiamo

Quando prendo a calci è come se dicessi cose sporche davanti allo strizzacervelli

Piccolo mio, sappi che anticipo ciò che è nascosto, sii attento

Prenditi del tempo per vivere una vita saggia

Hai capito “Ohlala!

Sta ancora parlando di rappare quello!"

Se sono edifici arriverò come Godzilla

Sparo e tu non sarai all'altezza, amico

Quando Biggie, Biggie, Biggie fa i controlli dei microfoni

Penso a chi dorme per terra

La mattina che si alza senza marmellata sui toast

E le ragazze, che tra due drink

Perdono la loro innocenza nell'angolo di un parcheggio

Amore, dove sei?

Ci manchi quaggiù

Fallo, per noi, per le persone che combattono

Non lasceremo che l'odio regni

Questi bugiardi vogliono ingannarci

Vogliono farci ingoiare serpenti

Il loro compito è elevare i nostri dolori

Vogliono che ci opponiamo

Nevrosi, che esplodiamo

Vengo dalla città rosa

Devono amare i colori

Non siamo mai contenti di quello che abbiamo

Credimi, siamo appena arrivati ​​in un posto in cui pensiamo di trasferirci

E i saggi lo sanno

Quando i pesci sognano di volare, gli uccelli sognano di nuotare

Ancora nel mio letto, in maglietta e boxer

Sto ancora fissando la crepa sul mio soffitto

Al buio mi rilasso, ci riprovo

Lunedì sera, 5:30, dovrei addormentarmi

Dovrei addormentarmi

Dovrei addormentarmi

C'è l'ago che gira

Dovrei addormentarmi

Ho provato di tutto, ho provato di tutto, ho provato di tutto

Dovrei addormentarmi

Oli

Dovrei addormentarmi

Devono dormire tutti, l'insonnia a cui sono abituato

Sud Ovest, la mia latitudine

Ed è nella scrittura che le mie frasi assumono &litude

Mia madre è orgogliosa, ma sogna che io faccia grandi studi

Ma non sarò mai un medico siamo d'accordo

Cosa resta della scuola?

Scherzi e la tavola pitagorica

Potrei essere in onda, accordi di schiaffo

Non salverò mai il mondo con le metafore

È pazzesco, devo dormire ma mi chiedo

Temendo di essere nella norma, volevo essere un grande uomo

Il rap sensuale pesa tonnellate, a volte vedo i loro fantasmi

Fisso il mio telefono, sto aspettando che qualcuno mi chiami

Sai che sto aspettando il mio momento

E ho messo il mio cuore sulla segreteria telefonica

Troverete dietro le righe delle mie frasi

Altrimenti lascia un messaggio

Guardo il mio vecchio peluche pieno di polvere

Sul tavolo, in mezzo alle mie cose

E lo paragono alla mia paura perché ci sono abituato

Ma avrei dovuto liberarmene molto tempo fa

Se me ne separo, farò bene il lutto

È lì, circondata da un sacco di foglie

La guardo e mi sento un po' solo

Mi sembra che mi stia strizzando l'occhio

Vedo la faccia di quel ragazzo che ho incrociato alla stazione dei treni

Aveva la mia età, mi fa male quando ci penso

Ha detto "Mi addormento fuori ogni notte"

Sotto il piumone, mi vergogno di aver detto "Buona fortuna"

Questa città, un film d'azione

Intrusioni, aggressioni, lo abbiamo sentito da allora ragazzi

Il mio vicino ha la stessa vita di Al Pacino

Prende le pillole e perde i soldi al casinò

Tutte queste scelte che ci separano

Devi combattere quando ti perdi

Quel cazzo di peso davanti allo specchio

Mi vedo di nuovo solo lontano

Mi gratto quando è tardi

Penso solo al rap dall'inizio

Io ho sfortuna, se busso al legno è per raccogliere le schegge

Una sirena dell'ambulanza scivolò sotto la mia finestra

Mano sul mio cuore, ho troppa paura che si fermi

Figlio del divorzio, ci diciamo

Quell'amore è come la lotteria

Succede solo agli altri

Sono le 5 del mattino e i secondi stringono le morse

Ancora una volta mi ero ripromessa di andare a letto presto

E ho dei flash dal mio zenit

Tutto quello che vedono è fuoco, io vedo la fenice

A proposito fratello lassù come è?

Sembra che in questo settore la cocaina stia prendendo il sopravvento

Sembra che tu stia impazzendo, sembra che tu sia triste, esasperante

Che ti penti di quello che hai detto, non c'è da stupirsi

Una villa sul mare, per mia madre

Non è il mare da bere, non voglio più vedere le sue occhiaie nella nebbia

Scrivo a tarda notte nel mio laboratorio

Voglio finire la mia vita al sole, non chiedo la luna

20 anni, non ho visto passare il tempo

Ci sono questi rimpianti che non posso sostituire

Ogni volta i ricordi si accumulano

Il cuscino tra le mie braccia, mi immagino ad abbracciarlo

Oli, solido, autistico, orgoglioso

UFO, cro-mi, solitario

È tardi lo so, la gente lavorerà presto

Ma resto lì tra le braccia di Morfeo

Quindi respiro, tempo

Mi immagino nei cieli

Mi comporto come un perfezionista davanti alla Torre di Pisa

chiudo i miei occhi

Dovrei addormentarmi

Dovrei addormentarmi

Dovrei addormentarmi

Sto aspettando il mercante addormentato

Bigflo & Oli lo sai, vero?

Secondo album ce l'abbiamo fatta fratello

Grazie a chi sostiene

Nella nostra città e altrove

Big Up Big Up

Nella nostra città e altrove

La vita reale, parte I

Che cosa?

Il prossimo è... Silenzio

Ultime parole dal secondo album

Sempre con mio fratello!

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