L'or noir - Danakil

Il font exactement l’inverse de ce que le peuple en attend,

agissant comme sous le coup puissant d’un divin commandement.

Foutaises

Nous sommes bien plus nombreux qu’ils ne peuvent s’y attendre,

depuis le temps que le feu brûle et que nous balayons les cendres.

Et cette chaleur comme émanent directement de l’enfer,

nuits et jours nous étouffent venant nous priver de notre air.

La terre est sèche,

mes cultures décèdent et nous avec

et ce n’est pas le soleil qui nous brûle mais bien leur gaz infecte.

J’ai lutté longtemps,

indéfendable empoisonneur d’enfants,

l’or noir détruit chez nous tout autant que là bas,

chaque jour il rapporte de l’argent.

J’ai lutté longtemps,

empoisonneur d’enfants, l’or noir détruit chez nous tout autant que là bas

chaque jour il rapporte de l’argent.

Eteignez les torches de feux,

émanations de gaz toxiques brûlées sous nos yeux.

Mon village est mort,

les feuilles des arbres sont noires

et dans le fleuve qui traverse l'âme en grand est sans espoir.

Les flaques d’huiles ont envahi les marécages,

et celui qui ouvre sa gueule finira sa vie en cage.

Voilà pourquoi je tousse et malgré tout je veux y croire,

baladé entre l’envie de vivre la force et le désespoir.

J’ai lutté longtemps,

indéfendable empoisonneur d’enfants,

l’or noir détruit chez nous tout autant que là bas,

chaque jour il rapporte de l’argent.

J’ai lutté longtemps,

empoisonneur d’enfants, l’or noir détruit chez nous tout autant que là bas

chaque jour il rapporte de l’argent.

Raccourcir nos vies et feindre de ne pas le voir,

mensonges, hypocrisie contre maladies respiratoires.

Rien en retour, pas d'énergie, pas une goutte, pas même l’eau courante,

est-ce que vous comprenez nos doutes?

J’attire l'œil de la planète sur ma déroute,

et des prières jours et nuits pour qu’enfin quelqu’un m'écoute.

Faudra t-il que nous prenions les armes?

Je le redoute, nous n'étions pas faits

pour combattre,

mais nous vivrons coûte que coûte.

Fanno esattamente l'opposto di quello che la gente si aspetta da loro,

agendo come sotto il potente colpo di un comando divino.

Cazzate

Ci sono molti più di noi di quanto possano aspettarsi,

finché il fuoco arde e noi spazzeremo via le ceneri.

E questo caldo come direttamente dall'inferno,

notti e giorni ci soffocano, privandoci della nostra aria.

La terra è arida,

i miei raccolti muoiono e anche noi

e non è il sole che ci brucia, ma il loro gas disgustoso.

Ho lottato a lungo

indifendibile avvelenatore di bambini,

l'oro nero distrugge qui tanto quanto là,

ogni giorno porta soldi.

Ho lottato a lungo

avvelenatore di bambini, l'oro nero distrugge qua e là

ogni giorno porta soldi.

Spegni le torce dei fuochi,

fumi di gas tossici bruciavano davanti ai nostri occhi.

Il mio villaggio è morto

le foglie degli alberi sono nere

e nel fiume che scorre attraverso l'anima in generale è senza speranza.

Le pozzanghere d'olio hanno invaso le paludi,

e chi apre bocca finirà la sua vita in una gabbia.

Ecco perché tossisco e nonostante tutto voglio crederci,

vagava tra il desiderio di provare forza e disperazione.

Ho lottato a lungo

indifendibile avvelenatore di bambini,

l'oro nero distrugge qui tanto quanto là,

ogni giorno porta soldi.

Ho lottato a lungo

avvelenatore di bambini, l'oro nero distrugge qua e là

ogni giorno porta soldi.

Accorcia le nostre vite e fai finta di non vederlo,

bugie, ipocrisia contro le malattie respiratorie.

Niente in cambio, niente energia, nemmeno una goccia, nemmeno acqua corrente,

capisci i nostri dubbi?

Invoco l'occhio del pianeta alla mia rotta,

e preghiere giorno e notte perché qualcuno finalmente mi ascolti.

Dobbiamo prendere le armi?

Lo temo, non avevamo finito

combattere,

ma vivremo a tutti i costi.