Toi, jamais toujours - Etienne Daho

Toi jamais, vermine douce

Satan de soie, soleil levant

Toi plus jamais, cheval de feu

Ô toi toujours, crapaud de dieu

Cantharide acide, tubéreuse mortelle, mon ange doré

Toi jamais, mais insiste encore un peu

Ô toi toujours, encore et toujours, le jour se lève et je t’adore,

rubis glorieux, lame d’argent, poignard sculpté dans mon coeur, toi, jamais

Toi jamais, sauf si tu ris dans les matins chagrins, sauf si tu couches dans

les fleurs, loin du malheur, des migraines folles et des bagues à poison,

alors toi peut-être, toi toujours ô mon maître, traitresse…

Toi toujours…

Oh oui toi plus que jamais, bouquet final, pissotière sacrée, mon âme,

toi jamais, jamais plus loin de toi, tu brûles, tu flambes dans mes veines,

comme le nectar assassin, tiens, tiens, prends ma main pour toujours,

toujours pour toi, les envolées du paradis, les flammes de la vie les

amandiers en fleurs sur l’horizon, toujours toi

A jamais, jamais jamais, toujours, toi que j’aimais nuit et jour,

ô pleurs de joie, toi à jamais toujours… toi jamais

(Merci à Carole pour cettes paroles)

Tu mai, dolce parassita

Silk Satan, Sol Levante

Mai più, cavallo di fuoco

Oh tu sempre, rospo di dio

Cantaride acido, tuberosa mortale, il mio angelo d'oro

Mai, ma insisti un po' di più

O tu sempre, ancora e sempre, sorge il giorno e io ti adoro,

glorioso rubino, lama d'argento, pugnale scolpito nel mio cuore, tu, sempre

Tu mai, a meno che tu non ridi nelle mattine dolorose, a meno che tu non dorma

i fiori, lontani dalla sventura, dalle folli emicranie e dagli anelli di veleno,

allora tu forse, tu sempre oh mio padrone, traditore...

Voi sempre...

Oh sì tu più che mai, ultimo bouquet, sacra pissotière, anima mia,

tu mai, mai più lontano da te, bruci, fiammeggi nelle mie vene,

come nettare omicida, tieni, tieni, prendi la mia mano per sempre,

sempre per te, i voli del paradiso, le fiamme della vita

fiori di mandorlo all'orizzonte, sempre tu

Per sempre, mai mai, sempre, tu che ho amato notte e giorno,

O lacrime di gioia, tu per sempre, sempre... tu sempre

(Grazie a Carole per questi testi)